الثلاثاء، أبريل 18، 2017

"قوة التحمل بسهولة، أو الخصوبة". تسمى اليوفوريا أيضاً باسم شَمَق،[1][2] وهي حالة النَّشاط وَمَرَحُ الجنونالابتهاج حالة اليوفوريا (النشوة)

On retrouve des traces très anciennes de leur usage dans diverses cultures. Ils font encore l'objet d'une utilisation chamanique en Amérique latine notamment. Ils sont alors qualifiés de « champignons sacrés » ou « chair des dieux » (teonanácatl) et on leur prête des vertus enthéogènes1.
On trouve des représentations sur des peintures rupestres découvertes au Sahara datant de 7000 av. J.-C. Certaines représentations mayas datent de 500 av. J.-C., notamment les vestiges archéologiques des sites des hauts plateaux guatémaltèques et dans le sud-est du Mexique représentant des effigies dont la tige est ornée d'une tête humaine ou animale surmontée d'une couronne en forme d'ombrelle.
Plusieurs dieux peuvent leur être assimilés, le dieu Piltzintecuhtli qui est un dieu mexicain des plantes hallucinogènes dont les champignons divins, le dieu aztèque Xochipilli qui est le dieu du « rêve fleuri »2.Les effets physiques comprennent :
Les effets psychiques peuvent comporter :
  • fou rire, euphorie, relaxation ;
  • chute de la concentration, invalidation des raisonnements logiques ;
  • illusions sensorielles, synesthésie2 ;
  • distorsions spatio-temporelles2 ;
  • hallucinations6 ;
  • visions autoscopiques, sensation de mort imminente ;
  • expérience mystique2 ;
  • ré-émergence des souvenirs oubliés ;
  • sensation d'omniscience, d'ultra-clairvoyance ;
  • dépersonnalisation, déréalisation2 ;
  • introspection ;
  • peurangoissetristesse, voire paranoïa.
Il existe quelques cas de psychoses mais les auteurs s'accordent à dire qu'il s'agissait d'un état latent chez l'usager2.
La plupart des usagers comparent les effets des champignons hallucinogènes à ceux du LSD6.
D'un point de vue strictement médical, l'ingestion de champignons dits hallucinogènes dans un but récréatif est considérée comme une intoxication volontaire. En effet, pour certains champignons la dose hallucinogène est souvent proche de la dose toxique.
Le risque de dépendance liée à la psilocybine n'est pas négligeable [réf. nécessaire] même si certains évoquent le fait que les sensations agréables sont compensées par les sensations négatives. Les champignons ne produisent pas d'euphorie constante, les sensations agréables se mélangeant avec les sensations négatives et l'expérience est généralement décrite comme étant « étrange » et « amusante »12. La consommation de champignons hallucinogènes n'entraîne pas de dépendance physique ou de phénomène d'addiction. En revanche, une tolérance aux effets psychédéliques de la psilocybine se développe rapidement, pour disparaître tout aussi rapidement et ne s'accompagne pas de symptômes de sevrage et rarement de dépendance psychologique12,13,14.
Comme pour tous les produits psychédéliques, les effets recherchés peuvent parfois se transformer en bad trip. Les benzodiazépines (diazepam, bromazepam, etc.) et les produits laitiers permettent d'écourter le trip s'il devient difficile à supporter[réf. souhaitée]. Lorsque les effets s'estompent — descente — peuvent apparaître une lassitude et parfois un الابتهاج حالة اليوفوريا (النشوة)état dépressif[réf. souhaitée]Il est généralement conseillé[Par qui ?] aux usagers d'éviter d'avoir des choses stressantes ou des décisions importantes à faire dans les 24 heures après l'ingestion.
On sait que des champignons hallucinogènes furent distribués aux fêtes du couronnement de Moctezuma II en 1502.
L'un des premiers textes européens à y faire référence et à en décrire l'usage rituel est le Codex de Florence (Historia general de las cosas de la Nueva España), écrit par le clerc espagnol Bernardino de Sahagún entre 1547 et 1569.
Après 1521, les européens commencent à essayer d'en interdire l'usage2.La psilocybine et la psilocine sont les principales molécules actives des champignons que l'on nomme communément hallucinogène. D'autres substances actives, en quantité bien moindre sont présentes dans certains psilocybes : la baeocystine et la norbaeocystine.
Le muscimole et l'acide iboténique sont les substances actives et toxiques des champignons dits psychotonique ou délirogène, comme l'amanite tue-mouches (Amanita muscaria).
En 1938Richard Evans Schultes et Reko ramènent plusieurs spécimens au musée de Harvard2.
En 1953Robert Gordon Wasson entreprend sa première expédition dans la région mazatèque au Mexique et en 1955 il découvre le premier les effets psychoactifs du Psilocybe mexicana. En 1958, à la suite de cette découverte, la psilocybine est isolée par Albert Hofmann3.
En 2006, l'OEDT publie une étude indiquant que, durant les années 1990 et au début des années 2000, la consommation de champignons hallucinogènes a subi une importante augmentation sensible au sein de la jeunesse européenne. Cette hausse est imputée aux pays autorisant la vente des champignons hallucinogènes, à la tendance visant à consommer des produits biologiques et à l'essor de l'internet où un nombre significatif de sites web permet l'achat de ces produits en ligne avec livraison à domicile. Cette étude s'inquiète aussi du fait que, s'adaptant aux nouvelles législations pénalisant les champignons contenant de la psilocybine ou de la psilocine, les vendeurs proposent des produits plus dangereux comme des champignons de la famille des agarics et des espèces d'amanites4.Les champignons hallucinogèneschampischampignons magiques, ou encore magic mushroom, sont des champignons possédant des propriétés hallucinogènes et enthéogènes dues à diverses molécules en fonction de leur espèce.
Selon le mycologue Roger Heim, on peut distinguer trois groupes de champignons psychotropes1 :

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