KALÎLA WA DIMNA
- KALILA WA DIMNA
KALILA WA DIMNA
Opéra, Musiques d'Orient & Maghreb
LE VENDREDI 19/05/2017 À 20H30 - PHILHARMONIE DE PARIS - PARIS 19
INFORMATION
Kalila Wa Dimna Musique de Moneim Adwan Livret de Fady Jomar et Catherine Verlaguet d’après Kalila et Dimna attribué à Ibn al-Muqaffa’ Ranine Chaar , Kalîla Moneim Adwan , Dimna Reem Talhami , La mère du roi Jean Chahid , Chabatra Mohamed Jebali , Le roi ...
Kalila Wa Dimna
Musique de Moneim Adwan Livret de Fady Jomar et Catherine Verlaguet d’après Kalila et Dimna attribué à Ibn al-Muqaffa’
Ranine Chaar, Kalîla
Moneim Adwan, Dimna
Reem Talhami, La mère du roi
Jean Chahid, Chabatra
Mohamed Jebali, Le roi
Zied Zouari, direction, violon
Yassir Bousselam, violoncelle
Abdulsamet Çelikel, Qanun
Selahattin Kabaci, clarinette
Wassim Halal, percussions
Olivier Letellier, mise en scène
Créé en juillet 2016 au Festival d’Aix-en-Provence, l’opéra Kalila wa Dimna de Moneim Adwan est chanté en arabe et en français. Il s’inspire d’un recueil de fables très ancien (IIIe siècle avant J.-C.) destiné, à l’origine, à l’éducation morale des princes.
En partenariat avec le Festival d'Aix-en-Provence
* Programme et distribution donnés sous réserve de modification *
Afin de préparer votre venue et de faciliter les contrôles liés au plan Vigipirate renforcé à la Philharmonie de Paris, nous vous remercions de vous présenter aux entrées en avance.
Musique de Moneim Adwan Livret de Fady Jomar et Catherine Verlaguet d’après Kalila et Dimna attribué à Ibn al-Muqaffa’
Ranine Chaar, Kalîla
Moneim Adwan, Dimna
Reem Talhami, La mère du roi
Jean Chahid, Chabatra
Mohamed Jebali, Le roi
Zied Zouari, direction, violon
Yassir Bousselam, violoncelle
Abdulsamet Çelikel, Qanun
Selahattin Kabaci, clarinette
Wassim Halal, percussions
Olivier Letellier, mise en scène
Créé en juillet 2016 au Festival d’Aix-en-Provence, l’opéra Kalila wa Dimna de Moneim Adwan est chanté en arabe et en français. Il s’inspire d’un recueil de fables très ancien (IIIe siècle avant J.-C.) destiné, à l’origine, à l’éducation morale des princes.
En partenariat avec le Festival d'Aix-en-Provence
* Programme et distribution donnés sous réserve de modification *
Afin de préparer votre venue et de faciliter les contrôles liés au plan Vigipirate renforcé à la Philharmonie de Paris, nous vous remercions de vous présenter aux entrées en avance.
: LA FORCE SUBVERSIVE DE L’ŒUVRE D’ART
Créé en juillet 2016 au Festival d’Aix-en-Provence, l’opéra Kalîla wa Dimna est chanté en arabe et en français. Il s’inspire d’un recueil de fables très ancien destiné, à l’origine, à l’éducation morale des princes.
Véritable opéra mêlant cultures orientale et européenne, Kalîla wa Dimna alterne passages parlés et chantés, en français et en arabe. Il est l’œuvre du compositeur et musicien franco-palestinien Moneim Adwan, qui s’associe au metteur en scène Olivier Letellier et à deux auteurs-librettistes : Fady Jomar et Catherine Verlaguet. Ces derniers ont écrit leur livret en s’inspirant d’un classique de la littérature arabe laïque, Kalîla wa Dimna, recueil de fables animalières du VIIIe siècle attribué à Ibn al-Muqaffa’ et destiné à l’édification des princes. Pour en dégager la portée universelle, le livret ne s’attache pas à l’identité animale des personnages mais à leur rang social. Sous la forme d’un conte narré par la douce Kalîla, l’opéra aborde des sujets intemporels : la soif de reconnaissance sociale, la solitude de l’homme de pouvoir ou encore la force subversive de l’œuvre d’art.
Ne supportant plus sa condition modeste, Dimna a l’ambition de se rapprocher du Roi grâce à ses talents de manipulateur. Le souverain se montre soucieux des chants potentiellement séditieux d’un artiste populaire, Chatraba, dont il craint les propos critiques à l’égard du pouvoir. Pour l’apaiser, Dimna propose d’organiser une rencontre entre les deux hommes, qui sympathisent bientôt à ses dépens. Gagné par la jalousie, Dimna élabore alors un plan machiavélique...
La partition, interprétée par cinq chanteurs et autant de musiciens venus du monde arabe, se déploie aux sons du qanûn, du violon, du violoncelle, de la clarinette et de diverses percussions. Elle s’inscrit dans la descendance du chant classique arabe tel qu’il a pu être illustré par la fameuse chanteuse libanaise Fayrouz, mais en incorporant certains procédés contrapuntiques occidentaux ainsi que des influences indiennes et perses. Le tout produit une musique fortement marquée par ses origines, mais aussi nouvelle dans ses textures autant que dans sa forme, puisqu’elle se met au service d’une dramaturgie. L’ouvrage a été donné en création mondiale en juillet 2016 au Festival d’Aix-en-Provence, qui est à l’origine de cette commande.
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